La transition à l’économie humaine est une nécessite impérative du développement économique et sociale représentent un avance de l’humanité vers la nouvelle société, dans laquelle le développement est réalisé par les hommes et pour les hommes. Si, pendant longtemps, on a considéré, l’environnement comme un sujet plutôt accessoire n’intéressant qu’une poignée d’amoureux de la nature, cette époque soit désormais révolue. Aujourd’hui il est évident que la qualité de l’environnement est l’affaire de tous, car on ne saurait le dissocier du monde dans lequel nous vivons et dont dépend notre survie. Il a une incidence sur tous les aspects de notre existence, qu’il s’agisse de notre façon de vivre, de travailler ou de nous détendre, de notre santé, de notre sécurité ou encore de notre qualité de vie. L’article essaye de mettre en évidence la relation entre la qualité de la vie et la qualité de l’environnement, en partant d’une question pertinente: le conflit entre celles-ci et la solution c’est l’impérativité de déclencher un nouveau management publique, parce que l’ancien système est excessivement orienté vers les nécessites du marché. On considère que le conflitci est vital pour le mouvement écologique .L ‘article analyse aussi la manière de se manifester des citadins vis-à-vis des problèmes de l’environnement. L’auteur souligne l’impérativité de l’institution d’une démocratie délibérative portée dans les politiques de l’environnement comme une alternative viable, durable dans la résolution des conflits dans l’environnement. On s’impose l’implication des citoyens aux problèmes de l’environnement, bien que dans un monde globalise l’idée de communauté perd, peu à peu de sa valeur, semble gagner du terrain. C’est ainsi le cas, dans notre double hypostase de professeur et d’écologistes de porter et de devenir le porte-parole de la lutte consciencieuse pour un environnement qualitatif, durable, européen.